Cette série explore la porosité de cet agrégat momentané, en perpétuelle évolution, qu’on appelle «Je». Où est-ce que “je” commence?  Où s’arrête le monde ? J’ai projeté certaines de mes images sur mon propre corps, le transformant en une sorte d’émulsion photographique, comme un portail pour danser avec mes fantômes.

This series explores the porosity of this momentary aggregate, in perpetual evolution, which is called “I”. Where does “I” start?  Where does the world end?
I projected some of my images on my own body, turning it into a photographic emulsion of sorts, a portal for me to dance with my ghosts.